Ivory Coast Times

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SME Entrepreneurs Trained On Business And Human Rights


Small and medium-sized enterprises (SMEs) traders in Embu County have benefited from training on business and human rights to build stronger, more sustainable, and ethical enterprises.

The training conducted by Kenya National Chamber of Commerce and Industry (KNCCI) in partnership with Danish Institute of Business and Human Rights is aimed at enabling them to understand their role and responsibility in upholding and integrating human rights in their business strategies.

KNCCI Trade official Joyce Chelagat said the purpose of the trainings being carried countrywide was to enable the SMEs understand and learn their role in business and the importance of embedding human rights into their businesses.

She said businesses were not separate entities operating in isolation from the societies in which they thrive and as such have a moral and ethical responsibility to respect and uphold the fundamental rights of individuals within their sphere of influence.

Speaking on Monday during the training of tens of SME pla
yers held at a hotel in Embu Town, Ms Chelagat said this was not a matter of compliance with regulations but conscience and the values that underpin responsible entrepreneurship.

She said entrepreneurs need to understand their corporate responsibility to respect human rights as a key role for their businesses in a bid to attract markets and reduce risk of costly litigations, regulatory fines and reputation damage.

‘For instance, farmers need to understand the chemicals they ought to apply in their farms so that the products they avail to the market are safe for human consumption,’ she said, adding that issues of how they also treat their workers is another aspect that should also be taken into account.

Some Kenyan products have been in some instances blocked from accessing European Market due to high chemical residual levels and Ms Chelagat said SMEs and farmers must be sensitized on the need to uphold human rights for them to thrive in business.

Edward Munoru from the Micro and Small Enterprises Authorit
y (MSEA) said issues of human rights must be taken into account in the business ecosystem to promote sustainable enterprises.

Source: Kenya News Agency

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Les délégations présentes à la 27e édition de la conférence annuelle des Nations unies sur le climat (COP 27) ont trouvé, dimanche 20 novembre 2022, un accord final par consensus sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’aide aux pays vulnérables. Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé le calendrier prévu, les délégués de près de 200 nations ont adopté un texte final appelant à une réduction « rapide » des émissions de gaz à effet de serre lors de la réunion plénière de clôture. Après deux semaines de discussions à Charm-el-Cheikh, en Égypte, les participants ont convenu de créer un mécanisme de soutien aux pays les plus vulnérables au changement climatique et réaffirmé l’objectif de contenir le réchauffement à 1,5 °C, sans préciser les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. Toutefois, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a regretté le manque d’ambition sur la question des gaz à effet de serre. « Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant et c’est une question à laquelle cette COP n’a pas répondu », a-t-il déploré. L’accord final ne précise pas les efforts supplémentaires de la part des principaux émetteurs pour augmenter et accélérer leurs réductions d’émissions et ne vise pas la réduction progressive de l’utilisation de « tous les combustibles fossiles ». Il appelle toutefois les pays à prendre des mesures en vue de « l’abandon progressif du recours au charbon et la suppression des aides publiques inefficaces aux carburants fossiles », ce qui avait déjà été convenu lors de la COP26 à Glasgow. La résolution finale de cette COP 27 a été adoptée par consensus, après une dernière journée marathon de négociations serrées, témoignage des réticences de nombre de participants. Néanmoins, un fonds « pertes et préjudices » destiné à inciter les pays riches à aider les pays en développement à faire face aux effets néfastes du changement climatique, à l’image des tempêtes et inondations, a été adopté avec la mise en place d’un comité spécial pour le règlement des détails opérationnels d’ici la prochaine COP 28 prévue dans un an à Dubaï. Le dossier des « pertes et dommages » climatiques des pays pauvres avait failli faire dérailler la conférence, avant de faire l’objet d’un texte de compromis de dernière minute qui laisse de nombreuses questions en suspens, mais acte le principe de la création d’un fonds financier spécifique. Toujours est-il que pour certains participants, c’est « une énorme réussite », « un accord historique » ou encore « un résultat très positif » après 30 ans passés à essayer de le mettre à l’ordre du jour. Source: Agence Ivoirienne de Presse