Ivory Coast Times

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OTA plans to produce sufficient food for drought season


OMUTHIYA: Ondonga Traditional Authority (OTA) spokesperson Enkali Frans said they are planning to maximise their harvest by growing maize meal to assist their people during the drought season.

Frans in an interview with Nampa on Tuesday said it is only the government that tries to assist the nation when disaster strikes, hence the need to plan to reserve some food for difficult times.

‘We want to contribute to food production in our country and we have experienced from the past that it costs us a lot when there is insufficient food, during a disaster.

During this rainy season, we want to make sure that we plant enough maize on our piece of land and do proper agricultural work so we produce enough maize,’ Frans said.

The traditional authority he said, currently does not receive any financial income from the government so they sell some maize at a lower price to bring in some capital to run its administration, including paying for their workers.

Frans further pointed out that they do not get enough from th
e village houses payment of N.dollars 20 every year.

‘This harvest will not only benefit the Oshindonga-speaking people but also those who came to settle in Ondonga,’ he said.

He stated that they want at least two more pieces of land to add to the 100 hectares they have in Omuthiya, in the Oshikoto region to produce more food and at the same time create more job opportunities for the youth in the Agricultural sector.

He encouraged members of the community to venture into agricultural activities to reduce the import of food.

Source: The Namibia Press Agency

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Les délégations présentes à la 27e édition de la conférence annuelle des Nations unies sur le climat (COP 27) ont trouvé, dimanche 20 novembre 2022, un accord final par consensus sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’aide aux pays vulnérables. Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé le calendrier prévu, les délégués de près de 200 nations ont adopté un texte final appelant à une réduction « rapide » des émissions de gaz à effet de serre lors de la réunion plénière de clôture. Après deux semaines de discussions à Charm-el-Cheikh, en Égypte, les participants ont convenu de créer un mécanisme de soutien aux pays les plus vulnérables au changement climatique et réaffirmé l’objectif de contenir le réchauffement à 1,5 °C, sans préciser les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. Toutefois, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a regretté le manque d’ambition sur la question des gaz à effet de serre. « Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant et c’est une question à laquelle cette COP n’a pas répondu », a-t-il déploré. L’accord final ne précise pas les efforts supplémentaires de la part des principaux émetteurs pour augmenter et accélérer leurs réductions d’émissions et ne vise pas la réduction progressive de l’utilisation de « tous les combustibles fossiles ». Il appelle toutefois les pays à prendre des mesures en vue de « l’abandon progressif du recours au charbon et la suppression des aides publiques inefficaces aux carburants fossiles », ce qui avait déjà été convenu lors de la COP26 à Glasgow. La résolution finale de cette COP 27 a été adoptée par consensus, après une dernière journée marathon de négociations serrées, témoignage des réticences de nombre de participants. Néanmoins, un fonds « pertes et préjudices » destiné à inciter les pays riches à aider les pays en développement à faire face aux effets néfastes du changement climatique, à l’image des tempêtes et inondations, a été adopté avec la mise en place d’un comité spécial pour le règlement des détails opérationnels d’ici la prochaine COP 28 prévue dans un an à Dubaï. Le dossier des « pertes et dommages » climatiques des pays pauvres avait failli faire dérailler la conférence, avant de faire l’objet d’un texte de compromis de dernière minute qui laisse de nombreuses questions en suspens, mais acte le principe de la création d’un fonds financier spécifique. Toujours est-il que pour certains participants, c’est « une énorme réussite », « un accord historique » ou encore « un résultat très positif » après 30 ans passés à essayer de le mettre à l’ordre du jour. Source: Agence Ivoirienne de Presse