Ivory Coast Times

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Ombudsman Set To Revamp Complaints Filing System

The Commission on Administrative Justice (CAJ) is developing an App to make it easier for the public to file complaints about dissatisfactory service in the public sector from the comfort of their homes.

Commission Chairperson Florence Kajuju said the Commission is working in partnership with the Ministry of Public Service to strengthen the complaints management system that would be launched as the PASHA Ombudsman platform to be hosted by the Commission on Administrative Justice.

Speaking during the Fourth Huduma Ombudsman Award ceremony at KICC, Kajuju said the Commission has since its inception in 2011 made significant strides in resolving complaints, improving efficiency, and fostering a responsive culture in public service adding that over 920 000 complaints have been resolved.

Kajuju said the Commission has helped restructure the complaint-handling mechanisms by Government Ministries, Departments, Agencies, and County Governments (MDACs) through capacity-building seminars for public officers and inst
itutions and added that through the Wajibika initiative MDAs will now be held accountable to the public.

The Commission Chair reiterated the mission of the Office of the Ombudsman to promote good governance, the rule of law, and accountability in the management of public affairs and cited an instance of callous behavior by public servants reported to the Commission where a patient requiring surgery overseas was granted a passport while the donor was denied.

She commended public officers who have demonstrated diligence in their duties and cautioned them against dropping the ball adding that ‘through their exemplary service, their efforts will be appreciated and rewarded’.

Commission Secretary and Chief Executive Officer Mercy Wambua reiterated that the Commission is committed to achieving administrative justice guided by the slogan ‘Hata anyone ana haki.’

The Commission CEO said an analysis of the complaints received over the years shows that the majority of grievances related to delays in services sought
by Kenyans at 22.6 percent while unlawful official conduct constitutes 18 percent. Inefficiency in service delivery, unfair treatment, and abuse of follow at 12.5, 11.3, and 10.6 percent respectively.

Other forms of maladministration cited relate to incompetence, ineptitude, manifest injustice, discourtesy, and unresponsiveness which account for 25 percent of complaints.

Among those celebrated for outstanding service included several institutions and individuals who bagged prestigious accolades in different categories. Kenya Revenue Authority, Huduma Kenya, and the National Council for Law Reporting won first place in institutional groupings.

Corporal Julius Karanja Irungu, a police officer stationed at Wajir SOG won the Ombudsman Valor Award for his bravery during an IED terror attack in Wajir.

Another notable winner was Precious Dama Randu, Assistant County Commissioner, Matsangoni division in Kilifi North Sub- County who excelled in the public service delivery category.

The awards consisted of individ
ual, institutional, and Ombudsman Valor Award categories that appreciate effective, accountable, and responsive public service. The Commission has adopted this approach to promote compliance with administrative justice and access to information.

Source: Kenya News Agency

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Les délégations présentes à la 27e édition de la conférence annuelle des Nations unies sur le climat (COP 27) ont trouvé, dimanche 20 novembre 2022, un accord final par consensus sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’aide aux pays vulnérables. Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé le calendrier prévu, les délégués de près de 200 nations ont adopté un texte final appelant à une réduction « rapide » des émissions de gaz à effet de serre lors de la réunion plénière de clôture. Après deux semaines de discussions à Charm-el-Cheikh, en Égypte, les participants ont convenu de créer un mécanisme de soutien aux pays les plus vulnérables au changement climatique et réaffirmé l’objectif de contenir le réchauffement à 1,5 °C, sans préciser les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. Toutefois, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a regretté le manque d’ambition sur la question des gaz à effet de serre. « Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant et c’est une question à laquelle cette COP n’a pas répondu », a-t-il déploré. L’accord final ne précise pas les efforts supplémentaires de la part des principaux émetteurs pour augmenter et accélérer leurs réductions d’émissions et ne vise pas la réduction progressive de l’utilisation de « tous les combustibles fossiles ». Il appelle toutefois les pays à prendre des mesures en vue de « l’abandon progressif du recours au charbon et la suppression des aides publiques inefficaces aux carburants fossiles », ce qui avait déjà été convenu lors de la COP26 à Glasgow. La résolution finale de cette COP 27 a été adoptée par consensus, après une dernière journée marathon de négociations serrées, témoignage des réticences de nombre de participants. Néanmoins, un fonds « pertes et préjudices » destiné à inciter les pays riches à aider les pays en développement à faire face aux effets néfastes du changement climatique, à l’image des tempêtes et inondations, a été adopté avec la mise en place d’un comité spécial pour le règlement des détails opérationnels d’ici la prochaine COP 28 prévue dans un an à Dubaï. Le dossier des « pertes et dommages » climatiques des pays pauvres avait failli faire dérailler la conférence, avant de faire l’objet d’un texte de compromis de dernière minute qui laisse de nombreuses questions en suspens, mais acte le principe de la création d’un fonds financier spécifique. Toujours est-il que pour certains participants, c’est « une énorme réussite », « un accord historique » ou encore « un résultat très positif » après 30 ans passés à essayer de le mettre à l’ordre du jour. Source: Agence Ivoirienne de Presse