Des femmes ont débattu de l’entreprenariat féminin à la 2ème édition des ‘’Bold conversations Bold by veuve Clicquot’’, samedi 05 mars 2022, à Abidjan.

Ce programme accompagne les femmes pour qu’elles parviennent à redéfinir les règles de l’entrepreneuriat pour se lancer dans leur propre aventure professionnelle.

Les thématiques débattues ont porté sur ‘Lles obstacles visibles et invisibles à l’entreprenariat en Côte d’Ivoire et comment y faire face ?’’, ‘’La femme entrepreneure ivoirienne doit-elle adopter des comportements spécifiques et avoir un état d’esprit pour réussir ?’’, ‘’Le digital est-il une solution d’accélération à l’entreprenariat féminin en Côte d’Ivoire ?”, ‘’Solidarité féminine, comment accompagner le développement de l’autonomisation des femmes ?’’.

Les débats ont été menés par la fondatrice de Niama Dolls, Sara Coulibaly, de l’hypnothérapeute Rosine Tédajo et de la directrice du groupe Addict, Leticia N’Cho Traoré.

« On peut ne pas être né avec une cuillère à la bouche et avec la force de conviction, avec un projet viable animé de passion en épousant la valeur travail, on peut y arriver », a conseillé l’ancienne Miss Côte d’Ivoire, Leticia N’Cho, reconvertie dans les affaires.

La fondatrice de Niama Dolls a demandé à toutes les femmes qui ont des projets d’oser et surtout de ne jamais douter de leurs potentialités.

L’hypnothérapeute Rosine Tédajo a conseillé aux participantes de se faire confiance et d’être optimistes pour la réussite de tous leurs projets d’investissement.

Toutes les participantes de ce débat avec ces cheffes d’entreprises aux parcours audacieux, issues de secteurs à fort potentiel, sont réparties très heureuses avec des conseils et idées pour fructifier ou monter leur business.

Le programme Bold a été créé en hommage à la fondatrice de la Maison, Mme Clicquot et à son esprit d’entreprise. En 1805, Mme Clicquot a fait preuve d’un grand courage et d’une grande ténacité lorsqu’elle a, à 27 ans, pris les rênes de la Maison après le décès de son mari, à une époque où les femmes ne pouvaient ni travailler, ni posséder de compte bancaire.

Source: Agence Ivoirienne de Presse